Maquettes interactives

L’isoloir

Participation à la création d’une œuvre artistique, l’Isoloir, au croisement des méthodes artistiques et scientifiques, et fondée sur l’interactivité avec une représentation territoriale.

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2022

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Région Hauts-de-France

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Partenariat

Partenariat entre l’équipe Up du Laboratoire TVES et le Collectif Meute

L'isoloir est au centre d'un espace culturel. Il s'agit d'un cube rouge dans lequel un individu entre et va modifier une photo de chez lui, et modifier son environnement sonore.

Œuvrer pour imaginer les futurs

Un dispositif artistique et scientifique de dialogue, d’échange et de prospective

Questionner le rapport habitant-territoire par la création

Le Collectif Meute déploie des dispositifs de co-création variés permettant au plus grand nombre d’expérimenter le corps et le son comme espace d’expression personnel et collectif. De même, l’équipe Up développe des savoirs scientifiques comme leviers de transformation du rapport à la citoyenneté. Au croisement naît l’Isoloir, une installation interactive proposant la création, l’enregistrement et la consultation de panoramas visuels et sonores.

À partir d’un protocole de cartographie collaborative, l’Isoloir interroge le rapport des habitants et habitantes à leurs territoires, en leur offrant la possibilité de le modifier par l’image et le son. L’équipe Up a accompagné le Collectif Meute dès l’origine du projet pour questionner le fond, la forme et les relations avec les visiteurs de l’Isoloir.

Synopsis de l’œuvre “Isoloir”

“C’est le matin. Vous ouvrez votre fenêtre et entendez le monde qui se réveille autour de vous. Fermez maintenant les yeux et choisissez des sons et motifs musicaux pour réinventer votre panorama sonore quotidien. Immergé dans cette installation sonore spatialisée, chacun compose un nouveau paysage et le localise sur une cartographie collective et onirique. Une invitation ludique à s’emparer de son espace de projection le plus direct – sa fenêtre – pour réinventer son environnement, non pas à partir de ce que l’on voit, mais à partir de ce que l’on entend. Une relecture de l’espace public qui se crée au fur et à mesure des visites.”